>>> Inédit: la dictée quotidienne
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Dictée parsemée d'embûches et joyeusetés
Voici le corrigé de la dictée de l'AENJ du dimanche 26 novembre 2017
Le mariage de difficultés pour tous
L’apostrophe oubliée au précédent Salon des écrivains, c’est une bagatelle. La dictée d’aujourd’hui sera transgenre. À vous donc de faire la distinction entre le masculin et le féminin. Parfois bizarre! La chienlit, c’est féminin avec la terminaison LIT, le lit où le dentiste éconduit avait trouvé sa femme avec un mâle dedans. Le chiendent est masculin avec une dent finale qui fait mal... Mais on peut utiliser des moyens mnémotechniques pour y voir plus clair. L’asphalte se révèle masculin si on le compare au goudron synonymique. Le mot anthracite peut être comparé au charbon dont le genre dissipe le doute.
Fin pour les -16 ans
- Possibilité d'être jugé dans la catégorie des adultes avec la dictée complète
- Possibilité aussi de faire la dictée complète par curiosité mais d'être classé chez les moins de 16 ans.
L’extrême a été dépassé quand les réformistes de l’orthographe ont modifié des règles d’accents alors que l’on n’a pas essayé de simplifier l’algèbre plus compliquée aux yeux des littéraires... L’écritoire de nos aïeux a été remplacée par des claviers portables que les adolescents maîtrisent à la perfection pour échanger des messages, tandis que leur acné est soignée par un dermatologue qui leur a diagnostiqué une allergie aux participes passés. Rassurez-vous, l’opprobre ne sera pas jeté sur vous si vous avez confondu les genres dans cette dictée de l’AENJ.
Questions subsidiaires (solutions)
Difficile de prendre le ton quand l’octave a été modifiée
Les fastes se sont déroulés au palais
Mon équerre est cassée
Attention, l’ivoire est très coûteux
Apogée M F (en rouge ce qui convient)
Phrase entendue à la TV:
J'ai eu un espèce de déclic! Juste Faux
J'ai eu une espèce de déclic! Juste Faux
Les lauréats sont:
1er Xavier François (F), 2e Jacques Menoud (FR), 3e Daniel Fattore (FR).
Ces trois champions d'orthographe sont à féliciter, notamment au 1er rang le jeune homme de 37 ans, un Français du Doubs, qui fait honneur à la jeunesse.
Article paru dans L'Express et L'Impartial
Les vices cachés de la langue française
C’est une tradition. Sur le coup de 15h30, les fanatiques de l’orthographe se donnent rendez-vous pour une petite séance de torture, présidée par le grand maître Francis Choffat, éminent correcteur d’imprimerie et récent retraité. La salle réservée à cet effet était comble. Une cinquantaine de masochistes, dont un jeune de 10 ans, ont tenté de décrocher le Graal: le zéro faute. Ce ne sera pas pour cette année. Celui qui est monté sur la plus haute marche du podium a tout de même fait une faute.
Il faut dire que les chausse-trapes du texte, centré sur le genre de certains mots, étaient assez gratinées. On retiendra qu’«apostrophe» est un substantif féminin, de même qu’«algèbre», «écritoire», «acné», «équerre» ou «octave» tandis qu’«opprobre» et «ivoire» et «apogée» sont masculins.
En plus de la dictée, des questions subsidiaires étaient posées pour départager les ex æquo. Apprenez que l’on écrit:
– «Difficile de prendre le ton quand l’octave a été modifiée.»
– «Les fastes se sont déroulés au palais.»
Et n’allez pas écrire, malheureux, «j’ai eu un espèce de déclic», car si «déclic» est masculin, «espèce» reste un mot féminin quoi qu’il arrive.
Mais voici le meilleur, gardé pour la fin. Il était question du «lit où le dentiste éconduit avait trouvé sa femme avec un mâle dedans.» Le sens imposait ici la graphie. Le champion de cette compétition, trompé par la qualité du dentiste cocu, a écrit «avec un mal de dent» et s’en est mordu les doigts: sans cette faute, son premier rang eût été sans tache.
Léo Bysaeth, ArcInfo
Dictée des écoliers (2016)
3e Salon de l'AENJ, dimanche 27 novembre 2016, à la Maison du Peuple, La Chaux-de-Fonds
Dictée des écoliers
Une dictée pas traumatisante
Imaginez que je vous concocte une dictée où tout le monde ferait zéro faute. On se retrouverait à l’époque de l’émission «L’École des fans». On commencerait par une comptine du genre: «Maman est en haut qui fait du gâteau, papa est en bas qui fume son tabac.» Pour ne pas choquer les bien-pensants, on devrait changer le dernier vers par «Qui fait du chocolat». Mais, ô sacrilège, on rajouterait un pied, puisque les précédents vers en comptaient cinq. Et certains êtres malintentionnés discuteraient sur l’utilité du circonflexe qui, comme la cerise sur le gâteau, lui donne l’empreinte d’une confection raffinée. L’animateur Jacques Martin distribuait la note 10 à chacun des bambins accourus sur le plateau télévisé. Ainsi, chers écolières et écoliers qui vous êtes inscrits à cette dictée, devrai-je proclamer que vous avez tous gagné? Eh oui, en respectabilité ! Mais pour donner du piment à ce texte, je terminerai par des propos spécieux, ne craignant pas le qu’en-dira-t-on. J’espère que vous n’aurez pas lâché les rênes jusqu’à la fin de cette bafouille.
Définition du mot «spécieux»:
Qui a une apparence de vérité et de justice, mais qui n’en a que l’apparence.
Exemple: la dictée que vous êtes en train de faire...
Dictée principale (2016)
3e Salon de l'AENJ, dimanche 27 novembre 2016, à la Maison du Peuple, La Chaux-de-Fonds
L’amphitryon et la cougar du réfectoire
La plupart des employés de l’usine mangent à la cantine. Ils se réjouissaient d’obtenir du patron un subside de cinq francs pour chaque repas de midi. Seule la moitié a été consentie, mais un tiens vaut mieux que deux tu l’auras ! Dès potron-minet, les ouvriers choisissent le plat du jour décliné en moult versions : pour les végétariens, les végétaliens, et le menu traditionnel. Souvent, le maître queux a les honneurs de ces demoiselles qui en pincent pour le bel hidalgo. Les mecs un brin jaloux prétendent que la carte, pourtant bien assortie, n’est que du déjà-vu.
(Fin de la dictée pour les lycéens et apprentis)
À peine une critique s’échappe-t-elle d’un convive qu’une cougar le fait taire sur-le-champ. Derechef, elle répète à tout-va que Pablo est un des meilleurs cuistots que la cambuse ait connus. Les dithyrambes lancés en boucle à la cantonade relèvent d’un psittacisme exacerbé de la pimbêche. Au fond du couloir, dans l’antre éclairé au néon, un prosélyte aux produits allégés est en train d’établir des statistiques sur le nombre de calories absorbées dans la semaine. Tel un scribe sur un palimpseste, il calcule, rédige, efface, peaufine son rapport haptique sur une tablette. Une tablette sans sucre...
Question subsidiaire:
Une blondasse ressasse un discours proche de l’amphigouri, une logorrhée qui lui sied à merveille.
Les réformistes divisent
Ah tout va bien!
La dictée 2016 portait sur des termes exigeant un ou des traits d’union. Ces locutions plutôt rares dans les discussions du Café du Commerce apparaissent souvent mal orthographiées dans la presse, ce qui fait bondir Sifranc le correcteur.
«Un voleur a été pris sur le champ», par exemple.
Juste: sur-le-champ, définition sur le fait, immédiatement.
Photo: le Yorkshire du président de l'AENJ qui se fout, lui, de son anglicisme...
Voici la liste de ces mots estropiés:
potron-minet, du déjà-vu, le qu’en dira-t-on, les bien-pensants, à tout-va. Cette dernière expression a coûté la 1re place du concours à l’érudit Daniel Fattore qui n’avait pas mis le trait d’union. Après quelques recherches, notamment sur Google, il se trouve que la graphie «à tout va» est permise, d’où ma dérision en titre de cet article ah tout va... bien! Eh bien non, tout va mal pour celui qui concocte des dictées à longueur d’année. Il s’entoure parfois de collègues correcteurs qui le conseillent sur des termes à ne pas employer car sujets à polémique lors du corrigé. L’antre éclairé au néon (ou aux néons) a donné du fil à retordre au Père Virgule, mais ne dit-on pas éclairé au gaz et non aux gaz.
Les autres termes portaient sur des mots à découvrir ou redécouvrir:
haptique, malintentionné, eh oui !, un tiens vaut mieux que deux tu l’auras, le maître queux ou maître-queux, derechef, les rênes, ce fameux mot écrit souvent rennes qu’une écolière de langue étrangère a su écrire à la petite dictée sans confondre avec le troupeau du Père Noël. Bravo à elle malgré ses 25 fautes!
Coupure de presse
LA CHAUX-DE-FONDS
Salon feutré pour les écrivains neuchâtelois et jurassiens
Quand les auteurs se livrent
* STÉPHANE DEVAUX
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Pour écrire le troisième chapitre de ses salons annuels, l’Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens, qui regroupe plus de 70 auteurs issus de l’Arc jurassien, avait choisi de déplacer l’intrigue sur les hauteurs. C’est donc à La Chaux-de-Fonds, ville natale de Blaise Cendrars, qu’ils se sont installés hier, étalant leurs publications, récentes ou moins récentes, dans l’attente de rencontres avec leur public. D’échanges vifs et passionnés avec leurs lecteurs, qui plus est avides de dédicaces originales sur la page de garde.
Au bas de la page, au moment d’inscrire le mot «fin», force est d’admettre que les rencontres eussent pu être plus nombreuses et les échanges plus animés à la Maison du peuple. Est-ce le fait de la température douce et d’un soleil séducteur? Toujours est-il que les files de lecteurs sont restées raisonnables. Euphémisme, comme le diraient si bien les jongleurs de mots et les manieurs de figures de style...
Diversité des œuvres
Bien qu’un poil déçus, la plupart des écrivains présents – ils étaient 25, romanciers, poètes, chroniqueurs ou encore essayistes – ont pris l’événement pour ce qu’il pouvait bien devenir dans ces circonstances. Un échange d’expériences... aussi entre eux!
Tous l’admettent, des plus jeunes, comme Catherine Bex, qui a publié un premier roman en 2015, ou Rachel Zufferey, auteure d’une trilogie romanesque située dans l’Ecosse de Marie Stuart, aux écrivains confirmés, comme Jean-Bernard Vuillème ou Gilbert Pingeon, écrire est un acte délicat, qui exige beaucoup de soi. Et encore faut-il trouver un éditeur qui veuille bien donner une chance aux mots de trouver leurs lecteurs. C’est d’ailleurs une des conditions sine qua non pour faire partie de l’association: avoir publié au moins un ouvrage chez un éditeur reconnu. Pour plusieurs des écrivains de la région, c’est un éditeur romand qui leur a ouvert ses portes. Président de l’association, Thierry Amstutz, deux romans à son actif, tous les deux publiés chez Slatkine, est clair sur la question: pas d’écrivains publiant à compte d’auteur chez lui. L’éditeur, c’est une sorte de gage de qualité...
Mais que faire pour qu’un livre trouve un public? La question comporte sa part de mystère. Les rencontres du type de celle d’hier permettent à tous ces auteurs de se confronter à ce genre d’interrogations. De constater aussi combien large est la diversité des œuvres. Certains se nourrissent davantage de la réalité, à l’instar d’un Gilbert Pingeon, qui ne renie pas la part de critique de la société contenue dans son œuvre. Ou un Jean-Bernard Vuillème, qui a toujours pratiqué le journalisme en parallèle, ce qui, dit-il, nourrit sa création et lui apporte une vision très large du monde.
Quant à Jean-Claude Zumwald, qui signe des polars «régionaux», il pose un cadre avant de laisser ses personnages prendre une certaine indépendance.
Reste une question: où s’écrira le quatrième chapitre des aventures des écrivains neuchâtelois et jurassiens? Parce qu’il s’écrira, c’est sûr.
Logorrhée de pimbêche
Écrire, c’est bien. Écrire juste, c’est encore mieux. Sans fautes d’ortograf, donc... Afin de redonner à chacun le plaisir des dictées d’antan, le salon des écrivains organise chaque année deux concours, l’un destiné aux écoliers, l’autre aux plus âgés, censés déjouer tous les pièges de la langue. Dans le rôle de Pivot ou de maître Capello, c’est Francis Choffat, un ancien correcteur toujours aussi féru de bons mots et de mots bien écrits, qui officie en pays neuchâtelois. C’est donc à lui qu’on doit l’extrait que nous vous reproduisons, juste pour que vous vous rendiez compte à quoi vous avez échappé:
«À peine une critique s’échappe-t-elle d’un convive qu’une cougar le fait taire sur-le-champ. Derechef, elle répète à tout-va que Pablo est un des meilleurs cuistots que la cambuse ait connus. Les dithyrambes lancés en boucle à la cantonade relèvent d’un psittacisme exacerbé de la pimbêche. Au fond du couloir, dans l’antre éclairé au néon, un prosélyte aux produits allégés est en train d’établir des statistiques sur le nombre de calories absorbées dans la semaine. Tel un scribe sur un palimpseste, il calcule, rédige, efface, peaufine son rapport haptique sur une tablette. Une tablette sans sucre... Une blondasse ressasse un discours proche de l’amphigouri, une logorrhée qui lui sied à merveille.»
Il s’est quand même trouvé un participant pour rendre une copie sans faute. Et un autre pour considérer «dithyrambe» comme nom féminin et affubler «pimbêche» d’un accent grave. Et qui, hier soir, a surtout cherché le sens de quelques-uns de ces mots. Parce qu’écrire juste, c’est bien. Mais écrire pour être bien compris, c’est encore mieux... Sûr que les auteurs ne diraient pas autre chose.
* Stéphane Devaux est décédé le 20 mars 2020 à l'âge de 60 ans. Le monde de la presse le regrette à l'unanimité.
Les dictées, édition 2015
Dictée publique
Texte concocté par le correcteur Francis Choffat pour la dictée publique, sous l’égide de l’Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens (aenj) – Salle polyvalente d’Auvernier, dimanche 29 novembre 2015.
De bons crus élevés sur des coteaux ensoleillés
Bien qu’une ballade formée d’alexandrins eût été plus joyeuse qu’une dictée rébarbative, l’auteur de ces lignes a tenu à louer le travail des artisans de la terre qui se sont succédé au fil des ans au chevet de leurs sarments. Eh bien, on va se laisser charmer par une balade féerique sur les rives du lac de Neuchâtel. À une encablure d’un charmant vignoble, l’autoroute surchargée fera peut-être oublier à l’automobiliste pressé de s’arrêter. Dommage, il aurait pu goûter au fin nectar dont la littérature d’antan nous a narré les mystères dionysiaques célébrés ensuite par son acolyte Bacchus. De joyeuses bacchanales, libations de nos jours surveillées de près par la maréchaussée. Les danses lascives et le vin avaient des vertus aphrodisiaques appelées philtres d’amour à ne pas confondre avec le vin non filtré que les viticulteurs ont remis au goût du jour.
(Fin de la dictée pour les lycéens et apprentis)
Quoi qu’il en soit, il est de bon augure de vanter ces délices préparées par des vignerons qui se sont laissé emporter par leur passion, soit de chérir la vigne portée au pinacle par leur inextinguible savoir-faire. La peine qu’ils se sont donnée pour cultiver leur vin sous l’auspice de la Station viticole a été couronnée par des médailles d’or qu’ils se sont arrachées dans des concours œnologiques. C’est sans ambages que l’on peut dire que la région rebaptisée Milvignes a droit aux honneurs que les pisse-froid ont parfois occultés. Sans allumer des feux d’artifice en ce jour dicté par une rencontre discrète de fines plumes – les bas-bleus ayant décliné l’invitation –, je vous prierai de remercier par acclamation les Perchettes qui nous ont ouvert l’huis de la salle polyvalente d’Auvernier.
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Question subsidiaire: test supplémentaire pour les ex æquo éventuels.
Cette auberge est un repaire de poivrots qui perdent parfois leurs repères pour rentrer à la maison.
Félicitations au Fribourgeois Daniel Fattore qui a réalisé le zéro faute! (photo Fabien Nissels - ldd)
Dictée des écoliers
La Motte et la carotte
Les carottes que nous avons mangées proviennent du marché de Neuchâtel. Chaque samedi, la foule envahit la place éponyme rendue célèbre par la Maison des Halles. Les touristes ne cessent de photographier ce joyau architectural du XVIe siècle. Sur les étals, on ne trouve que des produits frais, cultivés par des maraîchers passionnés par le travail de la terre. Là, pas d’agrumes défraîchis ou de carottes calibrées dans un souci commercial d’uniformité. Ce calibrage, exigé par le lobby de l’alimentation de masse, provoque l’opprobre justifié des cultivateurs bio. Mais pas de quoi exhumer l’écrivain Antoine* Houdar (ou Houdart) de La Motte qui avait déclaré : «L’ennui naquit un jour de l’uniformité.»
*Antoine Houdar (ou Houdart) de La Motte, écrivain et dramaturge français, naquit le 17 janvier 1672 à Paris où il mourut le 26 décembre 1731.
Test de mémoire
Appris par cœur
Un moyen mnémotechnique pour se souvenir des planètes du système solaire:
ME Voici Tout Mouillé, Je Suis Un Nuage...
Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune
... et j'ai perdu mon Parapluie. Pluton n'est plus considéré comme planète
La phrase commence par ME pour ne pas confondre avec la lettre M de Mars.
Blanche-Neige et les Sept nains
Moyen mnémotechnique
Comment se souvenir du nom des 7 nains:
A Jouer Presque Seul, Tu Deviens Grincheux
Atchoum, Joyeux, Prof, Simplet, Timide, Dormeur, Grincheux.
Dicos/traducteurs électroniques
Les dictionnaires
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Les fautes que l’on entend et celles que l’on voit
Ici, on démontre l’utilité de l’accord du complément pour la compréhension de la phrase:
Il les a tant aimées (sous-entendu les femmes)
Il les a tant aimés (sous-entendu ses parents)
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Poser la question: qui est-ce qui a tant aimé? – Réponse: il
sujet + verbe + COD
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Il a tant aimé qui? – Réponse: «les» mis pour les femmes ou les parents
L’accord du verbe avec le COD sert à la compréhension du texte. Si l’on ne perçoit pas de différence dans le langage parlé entre aimés et aimées, avec les verbes prendre et découvrir, la faute de langage sera alors grossière puisqu’on l’entendra!
Il les a prises (sous-entendu ses vacances)
Il les a pris (sous-entendu ses souliers)